J8: Bursa
On commence par acheter un billet de bus pour Istanbul à la compagnie Pamukkale. Environ 20-25 TL. Puis on continue sur Atatürk Caddesi. Et encore une fois, on se retrouve devant un centre commercial. On viendra plus tard l'explorer.
Pour l'instant, on doit chercher la station de dolmüs pour aller au téléphérique qui devrait nous emmener jusqu'au mont Uludag.
D'après le guide, la station est vers la place Heykel. On trouve la place mais on ne voit pas de dolmüs. On décide de demander aux commerçants du quartier. On avise un premier magasin, je demande au vendeur : do you speak english, il répond: no! je ressors puis me dis : est-ce qu'on a vraiment besoin d'anglais pour se comprendre? puis je retourne dans le magasin. Je lui demande: Dolmüs? teleferik? nerede? Et il nous indique le chemin, il fallait juste tourner à droite. ça marche avec 2 ou 3 mots en turc et le langage des signes!!
Le dolmüs est le taxi collectif. C'est une Dacia Logan qui prend 4 places. On arrive au teleferik mais il est fermé à cause du vent. Il ouvrira si le temps s'améliore. On décide de redescendre à pied.
On arrive vers la mosquée Emir Sultan où on a une vue sur toute la ville basse.
On continue à marcher jusqu'au mausolée vert "Yesil Turbe".
La mosquée verte "Yesil Camii" est fermée pour travaux. A la place, on visitera le musée des arts turcs islamiques.
Puis, on continue notre balade jusqu'à Atatürk Caddesi. On a faim. On mange un énorme kebap. On a carrément du mal à le finir. Après avoir mangé, on passe devant un café. Les glaces nous attirent mais on n'a pas encore digéré le kebap. On garde l'adresse en mémoire pour plus tard. On fait preque tous les magasins de l'avenue avant de rentrer à l'hôtel fatiguées et chargées. Juste le temps de se reposer un peu puis on ressort. Direction le glacier. On déguste nos glaces en regardant les gâteaux. On en a trop envie mais on sait que notre estomac ne pourra rien assimiler de plus. Ce sera pour la prochaine fois.
En rentrant à l'hôtel, Nezha repère un café qui a un stand de kumpir. Je lui avais raconté que j'en avais vu un lors de mon dernier séjour à Istanbul et que je n'avais pas eu le temps d'en goûter. Le café est presque en face de l'hôtel. Après tout ce qu'on a mangé, il n'y a plus de place pour le kumpir. Mais c'est promis! Demain, ce sera kumpir au menu.