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ENVIE DE BOUGER, DE VOYAGER, DE DECOUVRIR DE NOUVEAUX HORIZONS
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Qui je suis...

Je suis marocaine, de Casablanca. J'aime les voyages, les organiser, les vivre puis les raconter. J'achète toujours un guide papier avant de partir en vadrouille. Je parcours aussi les forums de voyage. Je lis également pas mal de carnets de route de voyageurs. Et j'apprécie y trouver des infos et idées intéressantes pour préparer mes voyages. Alors, à mon retour, je rends la pareille. J'espère ainsi aider d'autres voyageurs à préparer leurs escapades. Ma spécialité est certainement la Turquie où je pars presque tous les ans depuis 2010. J'essaie même d'apprendre le turc depuis mon second voyage. Et pourtant, il me reste encore beaucoup de choses à découvrir dans ce beau pays.

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4 décembre 2012

J13- Eglise Saint-Antoine de Padoue - Tour Galata

On prend plaisir tous les jours à passer devant la mosquée bleue, Sainte-Sophie, l'hippodrome. C'est l'avantage de loger à Sultan Ahmet.

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Ce matin, on comptait faire le tour en bateau sur le bosphore. On prend le tram jusqu'à Eminönü. On a avait vu les horaires à l'avance et on avait décidé de prendre notre temps le matin et prendre le bateuau qui part autour de 11h (je ne me souviens plus de l'heure exacte). Dans le tram, on croise deux vieux égyptiens complètement perdus. Ils ne parlent pas turc et demandent aux gens le chemin de Sisli. Ils sont encore plus désemparés quand le tram s'arrête à Eminönü et que tout le monde descend. Au heures de pointe, certains trams ne vont pas jusqu'à Kabatas. Ils s'arrêtent à Eminönü puis repartent dans l'autre sens. Dans ces cas, il faut descendre et attendre le tram suivant. Donc, je disais que nos égyptiens étaient perdus. On leur demande en arabe où ils veulent aller. Ils sont tellement contents d'entendre quelqu'un parler en arabe. On leur explique qu'il faut prendre le tram suivant puis le funiculaire jusqu'à Taksim et puis le métro jusqu'à Sisli. Mais ils ne savent pas comment faire. Nezha me propose de les accompagner jusqu'à Taksim pour les aider. On les emmène jusqu'au métro à Taksim et on leur explique à quel arrêt il faut descendre. Après ça, on se rend compte qu'on a raté le départ du bateau. On refait l'Istiklal Caddesi. On en profite pour visiter l'église Saint-Antoine-de Padoue.

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On visite l'église puis on continue notre balade. Au passage, on prend notre dose quotidienne de vitamines: un jus d'ananas nature préparé sous nos yeux. En allant vers le pont Galata, on passe devant la Tour Galata. Le programme est déjà tout chamboulé et puis de toute façon, on ne suit jamais strictement tout ce qui est prévu dans le programme. On le chamboule tous les jours selon nos envies! Donc, en passant devant la Tour, on décide de monter voir la vue qu'elle offre sur tout Istanbul.

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 On descend ensuite vers le pont Galata.

 

 

 

 

 

 

 

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On mange du possoin dans une échoppe puis on prend le passage souterrain pour traverser vers le bazar égyptien.

 

 

 

 

 

 

Cette fois-ci, le bazar égyptien (appelé aussi marché des épices) est ouvert. On ne fait qu'un tour sans rien acheter.

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En sortant du bazar, on part à Yeni Camii (Emnönü Camii) pour la prière.

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On fait un tour dans le marché des animaux.

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Puis, on passe dans la rue derrière le bazar égyptien pour acheter nos loukoums et nougats. Les prix sont moins chers que dans le bazar.

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Nezha craquera aussi pour le fromage.

On se pose ensuite dans un café opur une künefe et un salep.

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Puis on part déposer nos achats à l'hôtel. On ressort se balader dans le quartier le soir et on tombe sur une espèce de cantine vers le grand bazar. Ils font des falefel (espèces de croquettes à base de pois chiches). On prend un sandwich qu'on mangera dans le parc de l'hippodrome.

 

 

 

 

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Les rues ne sont pas aussi animées que lors de mon dernier séjour à Istanbul. Il faut dire qu'on est à la mi-octobre et qu'il commence à faire frais. L'année dernière, j'étais venue en début septembre (il faisait encore très beau) et surtout, c'était en plein ramadan. A minuit, Sultan Ahmet était encore très animée. En ce moment, à 22H déjà, ça commence à se vider.

 

 

 

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